LE MEURTRE DE HARRIET MONCKTON ELIZABETH HAYNES FRANÇOISE HOF
Le 7 novembre 1843, Harriet Monckton, vingt-trois ans, est retrouvée empoisonnée dans les latrines de la chapelle calviniste de Bromley, au sud de Londres. Et l’on découvre qu’elle était enceinte d’environ six mois.
En s’appuyant sur les rapports du coroner et les dépositions réelles des témoins, Elizabeth Haynes construit un roman choral haletant. Le pasteur, son amie institutrice, son amoureux éperdu, son ancien amant – tous sont suspects ; chacun aurait pu vouloir sa mort.
Histoire de manipulation, de violence et de lâcheté, Le Meurtre de Harriet Monckton raconte l’asphyxie d’une jeune femme dans une société hypocrite et dévorante. Cent cinquante ans après, voici une conclusion brillante à cette enquête jamais résolue, et une belle leçon de suspense.
Luxure, vice et mensonge. Trahison et culpabilité. L’hubris des hommes d’Église. Les péchés s’amoncellent dans le roman fascinant d’Elizabeth Haynes. Karen Lajon, Le JDD.
Traduit de l’anglais (Grande-Bretagne) par François Hoff, Clara Lupfer, Pierre Marchant et Martin Petrowksy.
Geralt de Riv, le sorceleur, mène sa mission sans faillir dans un monde hostile et corrompu, dépourvu d’espoir. Sa renommée légendaire n’a d’égales que la peur
et la haine qu’il inspire chez ceux qu’il traque sans pitié. Mais sa rencontre avec Ciri, une petite princesse, va donner un sens nouveau à son existence de héros
solitaire. Geralt cessera-t-il enfin de fuir pour affronter la providence et découvrir son véritable destin ?
Série événement sur Netflix, succès mondial du jeu vidéo, Le Sorceleur (The Witcher) est une oeuvre littéraire unique, d’une richesse inouïe, qui a conquis
des millions de lecteurs et fait partie des trente meilleures sagas de tous les temps selon le magazine Forbes.
L’oeuvre, parfaitement addictive, n’en reste pas moins proche de nos réalités, entre conflits d’intérêts et renversements de pouvoir, amenant toujours cette éternelle question : qui, de la créature ou de l’humain, est le plus dangereux ?