Electric Miles tome 1 - Wilbur + ex-libris offert
There is no world Los Angeles, 1949. Parmi les rayons d'un magasin de comics, Morris Millman, agent littéraire, croise une de ses idoles : le prolifique et brillant Wilbur H. Arbogast, qui a jadis publié de nombreuses nouvelles dans le magazine pulp Outstanding. Mais Arbogast, fantomatique et secret, n'est plus que l'ombre de ce qu'il a été. Morris rêve de remettre Wilbur sur le devant de la scène. Aurait-il un texte, n'importe quoi à vendre, à promouvoir ? Oui, peut-être... Mais ce livre promis est aussi toxique, il rend fou, il tue. C'est du moins ce qu'affirme l'auteur déchu... L'agent, appâté, veut à tout prix publier ce texte, le vendre à des producteurs de cinéma, tout ça sans même l'avoir lu. Il vient, sans le savoir, de réveiller la folle volonté de puissance d'un auteur dément. Wilbur H. Arbogast ne veut pas seulement vendre un livre, il veut créer une bible. Fonder une religion, régenter le monde... Et grâce à la naïveté de son premier lecteur, il pourrait bien y arriver. Avec Electric Miles, le duo Nury / Brüno, continue de nous surprendre, en transportant le lecteur dans un polar fantastique digne de Philip K. Dick et Stephen King.
Geralt de Riv, le sorceleur, mène sa mission sans faillir dans un monde hostile et corrompu, dépourvu d’espoir. Sa renommée légendaire n’a d’égales que la peur
et la haine qu’il inspire chez ceux qu’il traque sans pitié. Mais sa rencontre avec Ciri, une petite princesse, va donner un sens nouveau à son existence de héros
solitaire. Geralt cessera-t-il enfin de fuir pour affronter la providence et découvrir son véritable destin ?
Série événement sur Netflix, succès mondial du jeu vidéo, Le Sorceleur (The Witcher) est une oeuvre littéraire unique, d’une richesse inouïe, qui a conquis
des millions de lecteurs et fait partie des trente meilleures sagas de tous les temps selon le magazine Forbes.
L’oeuvre, parfaitement addictive, n’en reste pas moins proche de nos réalités, entre conflits d’intérêts et renversements de pouvoir, amenant toujours cette éternelle question : qui, de la créature ou de l’humain, est le plus dangereux ?