N°5 eau de parfum - FALLYANCE

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N°5, l'essence même de la féminité. Un bouquet floral poudré sublimé par un flacon iconique aux lignes minimalistes. Un parfum mythique et intemporel. En 1921, Gabrielle Chanel fait appel à Ernest Beaux pour créer " un parfum de femme à odeur de femme ", rare et puissant. Le nez lui propose une composition visionnaire faisant appel à une utilisation inédite des aldéhydes. Mademoiselle plébiscite la version numéro 5 de la fragrance, et décide de conserver ce chiffre comme simple nom. Pour ce nouveau jus, elle choisit un flacon radical, orné d'une étiquette blanche et coiffé d'un cabochon facetté. En 1986, Jacques Polge, nez de CHANEL depuis 1978, réinterprète la partition olfactive de son prédécesseur pour donner jour à une version plus ample de N°5 : l'eau de parfum. L'eau de parfum puise son inspiration dans le parfum avec lequel elle partage sa signature fleurie-aldéhydée. Ce bouquet floral composé autour de la rose de mai et du jasmin est égayé en tête par les notes héspéridées. Les aldéhydes lui confèrent une présence unique, et la touche moelleuse de vanille, un sillage infiniment sensuel.

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parfum

Geralt de Riv, le sorceleur, mène sa mission sans faillir  dans un monde hostile et corrompu, dépourvu d’espoir.  Sa renommée légendaire n’a d’égales que la peur

et la haine qu’il inspire chez ceux qu’il traque sans pitié.  Mais sa rencontre avec Ciri, une petite princesse, va donner un sens nouveau à son existence de héros

solitaire. Geralt cessera-t-il enfin de fuir pour affronter  la providence et découvrir son véritable destin ?


Série événement sur Netflix, succès mondial du jeu  vidéo, Le Sorceleur (The Witcher) est une oeuvre littéraire unique, d’une richesse inouïe, qui a conquis

des millions de lecteurs et fait partie des trente  meilleures sagas de tous les temps selon le magazine Forbes.


L’oeuvre, parfaitement addictive, n’en reste pas moins proche  de nos réalités, entre conflits d’intérêts et renversements de pouvoir, amenant toujours cette éternelle question : qui, de la créature ou de l’humain, est le plus dangereux ?