Jeunesse à New York
Malgré une œuvre colossale, l’écrivaine américaine Patricia Highsmith est toujours restée discrète sur sa personne. La découverte, après sa mort, de dix-huit journaux et trente-huit carnets de notes cachés dans sa maison suisse est donc un événement. Ils sont rédigés à la main de 1941 à 1995, en cinq langues pour les garder à l’abri des regards indiscrets.
Cette édition propose une sélection de ces écrits intimes, ceux tenus entre 1941 et 1950.
La compagnie de Highsmith est fascinante : l’effervescence joyeuse d’une jeunesse passée dans Manhattan très Mad Men – bars enfumés, cocktails, échanges nocturnes et amours cachées. Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles.
La romancière a brûlé sa vie par tous les bouts, buvant, aimant, rageant, voyageant, délirant parfois. Plonger dans son
intimité est vertigineux. Alexandra Schwartzbrod, Libération.
Ses carnets dévoilent une personnalité de feu. François Rivière, Le Figaro littéraire.
Édité par Anna von Planta.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Bernard Turle.
Geralt de Riv, le sorceleur, mène sa mission sans faillir dans un monde hostile et corrompu, dépourvu d’espoir. Sa renommée légendaire n’a d’égales que la peur
et la haine qu’il inspire chez ceux qu’il traque sans pitié. Mais sa rencontre avec Ciri, une petite princesse, va donner un sens nouveau à son existence de héros
solitaire. Geralt cessera-t-il enfin de fuir pour affronter la providence et découvrir son véritable destin ?
Série événement sur Netflix, succès mondial du jeu vidéo, Le Sorceleur (The Witcher) est une oeuvre littéraire unique, d’une richesse inouïe, qui a conquis
des millions de lecteurs et fait partie des trente meilleures sagas de tous les temps selon le magazine Forbes.
L’oeuvre, parfaitement addictive, n’en reste pas moins proche de nos réalités, entre conflits d’intérêts et renversements de pouvoir, amenant toujours cette éternelle question : qui, de la créature ou de l’humain, est le plus dangereux ?