L'HOMME DE TROP
Jadis « homme de trop » parce qu’il faisait partie d’une minorité homosexuelle exclue, Lucas Fabert, photographe, la soixantaine, considère l’être toujours aujourd’hui parce qu’il refuse de se fondre dans le conformisme où ont sombré la plupart des gays. Lucas se confie à de jeunes amis oublieux du passé, qui ne comprennent pas ses réticences à l’idée que le droit à la différence soit devenu un devoir de ressemblance, la marginalité angoissante une insouciance lénifiante, la contestation un idéal périmé. Puis, on suit les péripéties et les polémiques suscitées par le mariage pour tous, les réactions qu’il provoque, en particulier chez Lucas, partagé entre le bonheur de constater l’immense progrès des mœurs et le regret et la mélancolie de voir comment les gays, autrefois force vive de contestation dans la société, s’embourgeoisent peu à peu dans le confort que procure la liberté.
Un diptyque sur l’homosexualité des années 1950 à aujourd’hui, libre de forme, tantôt roman, tantôt essai. L’Obs.
Cet ouvrage a été précédemment publié en deux tomes aux éditions Grasset.
Geralt de Riv, le sorceleur, mène sa mission sans faillir dans un monde hostile et corrompu, dépourvu d’espoir. Sa renommée légendaire n’a d’égales que la peur
et la haine qu’il inspire chez ceux qu’il traque sans pitié. Mais sa rencontre avec Ciri, une petite princesse, va donner un sens nouveau à son existence de héros
solitaire. Geralt cessera-t-il enfin de fuir pour affronter la providence et découvrir son véritable destin ?
Série événement sur Netflix, succès mondial du jeu vidéo, Le Sorceleur (The Witcher) est une oeuvre littéraire unique, d’une richesse inouïe, qui a conquis
des millions de lecteurs et fait partie des trente meilleures sagas de tous les temps selon le magazine Forbes.
L’oeuvre, parfaitement addictive, n’en reste pas moins proche de nos réalités, entre conflits d’intérêts et renversements de pouvoir, amenant toujours cette éternelle question : qui, de la créature ou de l’humain, est le plus dangereux ?