FLORENCE ADLER NAGE POUR TOUJOURS

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Atlantic City, 1934. La fille cadette d’Esther et de Joseph Adler, Florence, rentre de l’université avec un seul objectif en tête  : traverser la Manche à la nage cet été. Mais, lors d’un entraînement, elle se noie. Fannie, sa sœur aînée, à nouveau enceinte après avoir perdu un bébé et alitée à l’hôpital, doit éviter toute émotion forte. Pour protéger la seule fille qui lui reste, Esther décide de lui taire le drame. Elle entraîne alors toute la famille dans un cercle de mensonges sans fin  : Gussie, sept ans, empêchée de vivre le deuil de sa tante adorée, Stuart, amoureux éperdu de Florence, ou encore Anna Epstein, hébergée chez les Adler pour poursuivre ses études après avoir été contrainte de fuir son pays comme de nombreux juifs d’Europe de l’Est à cette époque.

Dans ce premier roman choral inspiré de son histoire familiale, Rachel Beanland offre une réflexion bouleversante sur les limites que nous sommes prêts à franchir pour protéger les nôtres.


Un livre poignant sur le rêve américain. The Times.


Captivant et profondément humain. Kevin Powers.


Traduit de l’anglais (États-Unis) par Laurence Kiefé.

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Cette combinaison n'existe pas.

Geralt de Riv, le sorceleur, mène sa mission sans faillir  dans un monde hostile et corrompu, dépourvu d’espoir.  Sa renommée légendaire n’a d’égales que la peur

et la haine qu’il inspire chez ceux qu’il traque sans pitié.  Mais sa rencontre avec Ciri, une petite princesse, va donner un sens nouveau à son existence de héros

solitaire. Geralt cessera-t-il enfin de fuir pour affronter  la providence et découvrir son véritable destin ?


Série événement sur Netflix, succès mondial du jeu  vidéo, Le Sorceleur (The Witcher) est une oeuvre littéraire unique, d’une richesse inouïe, qui a conquis

des millions de lecteurs et fait partie des trente  meilleures sagas de tous les temps selon le magazine Forbes.


L’oeuvre, parfaitement addictive, n’en reste pas moins proche  de nos réalités, entre conflits d’intérêts et renversements de pouvoir, amenant toujours cette éternelle question : qui, de la créature ou de l’humain, est le plus dangereux ?