MESSIEURS, ENCORE UN EFFORT hamalyah
La France, à l’instar des pays industrialisés, a entamé un lent repli démographique, avec toutes les conséquences sociales qu’on peut imaginer. Effet des crises à répétition ? de la menace écologique ? de la perte de confiance dans le monde à venir ? Elisabeth Badinter pointe la dureté de la condition maternelle : faire un bébé aujourd’hui, c’est accepter une moindre rémunération, supporter les contraintes de la double journée, le poids psychologique de la parentalité. Les mentalités évoluent, certes, mais pas assez vite, et les politiques natalistes restent insuffisantes. Aujourd’hui mieux éduquées, les femmes font vite le calcul des plaisirs et des peines. Si l’égalité entre les sexes ne progresse pas plus radicalement, et jusque dans l’intimité des couples, il ne faut pas s’étonner qu’elles refusent d’être les éternelles perdantes.
Une révolte sourde mais profonde sur laquelle Élisabeth Badinter a décidé de tirer la sonnette d’alarme. Martin Legros, Philosophie magazine.
Puissant et pertinent. Maurice Szafran, Challenges.
Élisabeth Badinter évoque avec inquiétude et lucidité une drôle d’époque. Et livre un constat : paradoxalement, la libération de la femme n’a pas libéré la femme du X
Geralt de Riv, le sorceleur, mène sa mission sans faillir dans un monde hostile et corrompu, dépourvu d’espoir. Sa renommée légendaire n’a d’égales que la peur
et la haine qu’il inspire chez ceux qu’il traque sans pitié. Mais sa rencontre avec Ciri, une petite princesse, va donner un sens nouveau à son existence de héros
solitaire. Geralt cessera-t-il enfin de fuir pour affronter la providence et découvrir son véritable destin ?
Série événement sur Netflix, succès mondial du jeu vidéo, Le Sorceleur (The Witcher) est une oeuvre littéraire unique, d’une richesse inouïe, qui a conquis
des millions de lecteurs et fait partie des trente meilleures sagas de tous les temps selon le magazine Forbes.
L’oeuvre, parfaitement addictive, n’en reste pas moins proche de nos réalités, entre conflits d’intérêts et renversements de pouvoir, amenant toujours cette éternelle question : qui, de la créature ou de l’humain, est le plus dangereux ?