RETOUR À WOODBURY (THE WALKING DEAD, TOME 8) AIBY
Risquer le tout pour le tout…
Quatre ans qu’elle survit à l’apocalypse. Lilly a fait des choses qu’elle n’aurait pas même imaginé dans ses pires cauchemars. Mais elle a survécu. Et elle a désormais installé son territoire dans la ville ravagée d’Atlanta, dans une zone sûre pour ses compagnons, loin au-dessus des rues infestées de zombies. Mais elle rêve toujours de son ancien foyer, dans le petit village de Woodbury. Un lieu qui lui inspire autant de chagrin que d’espoir, et qui est devenu pour elle le symbole du futur, de la famille, du retour à une vie normale au milieu de cet enfer terrestre. Cet appel est si puissant qu’elle décide de tout risquer pour revenir en arrière… et reconquérir cette petite oasis dans ce monde sauvage. Malgré tous les obstacles et les dissuasions de ses compagnons, Lilly prend la tête d’un groupe de fervents partisans et se lance dans un périple de tous les dangers pour accomplir la seule chose qui lui reste à faire : retourner à Woodbury.
Suivi par des millions de lecteurs (27 tomes parus aux éditions Delcourt) et de téléspectateurs (la série TV événement), The Walking Dead est un véritable phénomène. Retour à Woodbury est le huitième et dernier roman inédit de cette série culte.
Geralt de Riv, le sorceleur, mène sa mission sans faillir dans un monde hostile et corrompu, dépourvu d’espoir. Sa renommée légendaire n’a d’égales que la peur
et la haine qu’il inspire chez ceux qu’il traque sans pitié. Mais sa rencontre avec Ciri, une petite princesse, va donner un sens nouveau à son existence de héros
solitaire. Geralt cessera-t-il enfin de fuir pour affronter la providence et découvrir son véritable destin ?
Série événement sur Netflix, succès mondial du jeu vidéo, Le Sorceleur (The Witcher) est une oeuvre littéraire unique, d’une richesse inouïe, qui a conquis
des millions de lecteurs et fait partie des trente meilleures sagas de tous les temps selon le magazine Forbes.
L’oeuvre, parfaitement addictive, n’en reste pas moins proche de nos réalités, entre conflits d’intérêts et renversements de pouvoir, amenant toujours cette éternelle question : qui, de la créature ou de l’humain, est le plus dangereux ?