SON ODEUR APRÈS LA PLUIE
C’est une histoire d’amour, de vie et de mort entre un homme et son bouvier bernois, Ubac, qui, en même temps qu’il grandit, prend une place toujours plus centrale dans le quotidien du narrateur. Certaines pages, Ubac pue le chien, les suivantes, on oublie qu’il en est un, et l’on observe ces deux êtres s’aimant, tout simplement. Un lien mystérieux qui, se passant de mots, nous tient en haleine. Une existence inquiète et rieuse, intense, où tout va plus vite et qu’il s’agit de retenir. Et l’inéluctable séparation dont on ne voudrait pas mais qui lui donne toute sa substance. Reste ce fichu manque. Ces griffes que l’on croit entendre sur le plancher et cette odeur, malgré la pluie, à jamais disparue. Nul besoin d’être converti pour partager ces treize années d’intimité. Cette histoire est universelle.
Geralt de Riv, le sorceleur, mène sa mission sans faillir dans un monde hostile et corrompu, dépourvu d’espoir. Sa renommée légendaire n’a d’égales que la peur
et la haine qu’il inspire chez ceux qu’il traque sans pitié. Mais sa rencontre avec Ciri, une petite princesse, va donner un sens nouveau à son existence de héros
solitaire. Geralt cessera-t-il enfin de fuir pour affronter la providence et découvrir son véritable destin ?
Série événement sur Netflix, succès mondial du jeu vidéo, Le Sorceleur (The Witcher) est une oeuvre littéraire unique, d’une richesse inouïe, qui a conquis
des millions de lecteurs et fait partie des trente meilleures sagas de tous les temps selon le magazine Forbes.
L’oeuvre, parfaitement addictive, n’en reste pas moins proche de nos réalités, entre conflits d’intérêts et renversements de pouvoir, amenant toujours cette éternelle question : qui, de la créature ou de l’humain, est le plus dangereux ?